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Invitation presse POUR LE 20/11/2023 -2

Invitation presse

À l’occasion de la Semaine européenne pour l'emploi des personnes handicapées,

Monsieur Olivier Dussopt, ministre du Travail, du Plein emploi et de l'Insertion,

et Madame Fadila Khattabi, ministre chargée des Personnes handicapées,

tiendront une conférence de presse lors de la conférence de lancement de la SEEPH, au cours de laquelle ils présenteront les mesures pour l’emploi des personnes en situation de handicap issues de la Conférence nationale du handicap du 26 avril 2023 et du projet de loi pour le plein emploi adopté par le Parlement le mardi 14 novembre 2023.

Conférence de presse des ministres lors de la conférence de lancement de la SEEPH

Lundi 20 novembre à partir de 8h30 (début de la conférence à 9h00)

La Gaité Lyrique – 3 bis rue Papin 

75003 Paris

Cette année, la Semaine européenne pour l'emploi des personnes handicapées (SEEPH) organisée par LADAPT, l’Agefiph et le FIPHFP, se tiendra du lundi 20 au dimanche 26 novembre sous le thème « La transition numérique : un accélérateur pour l’emploi des personnes en situation de handicap ? ». La SEEPH est un événement crucial qui vise à sensibiliser le public à l'importance de l'inclusion professionnelle des personnes en situation de handicap. Pendant cette semaine, de nombreuses initiatives et actions sont menées pour promouvoir l'accès à l'emploi pour les personnes handicapées.


Les ministres présenteront les résultats de la politique gouvernementale menée ces dernières années en faveur de l’emploi des personnes handicapées.

Accréditation obligatoire via ce formulaire

 

Invitation presse POUR LE 20/11/2023

Invitation presse

Fadila Khattabi, ministre chargée des Personnes handicapées

vous convie à l’édition 2023 de la cérémonie de remise du Handitech Trophy

le lundi 20 novembre à 18h45

BPI France Le Hub (Auditorium, RDJ)

6-8 Boulevard Haussmann - 75009 Paris

Depuis 2017, le Handitech Trophy rassemble les acteurs de la tech' et de l'inclusion pour honorer des initiatives visant à améliorer la vie des personnes handicapées. Chaque année, plus de 200 entrepreneurs présentent leurs projets, soutenus par un large écosystème, comprenant de grandes entreprises, des associations, des acteurs publics, des incubateurs, des médias et des écoles.

L'édition 2023 mettra en avant des projets innovants dans divers domaines, tels que la santé, la mobilité, le sport, l'innovation numérique, l'éducation, le soutien aux aidants et l'emploi.

Lors de la cérémonie du Handitech Trophy, 11 trophées (6 Grands Prix, 3 Grands Prix et 2 Prix Coup de Cœur) seront remis pour récompenser des projets innovants liés à l'inclusion et à la technologie.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE 14/11/2023

Nomination d’Etienne Pot au poste de délégué interministériel à la stratégie nationale pour les troubles du neurodéveloppement : autisme, Dys, TDAH, TDI

Etienne Pot a été nommé le mercredi 8 novembre 2023, en conseil des ministres, délégué interministériel à la stratégie nationale pour les troubles du neurodéveloppement.

Il remplace Claire Compagnon, ancienne déléguée interministérielle à la stratégie nationale à l’autisme et aux troubles du neurodéveloppement, qui a rejoint le Collège de la Haute Autorité de santé en juin dernier. Placé sous l’autorité de la ministre chargée des Personnes handicapées, le délégué devra assurer le pilotage de la mise en œuvre, au niveau interministériel, de la nouvelle stratégie nationale, en veillant à la prise en compte des besoins spécifiques aux personnes autistes, Dys, TDAH, TDI. Il devra garantir le recours régulier à l’expertise et l’expérience des usagers, des professionnels et des scientifiques et coordonner le déploiement territorial de la stratégie.

Médecin de santé publique, avec une spécialisation en management des établissements de santé depuis 2013 et une spécialisation clinique en addictologie, Etienne Pot a développé par la suite une expertise dans le champ du handicap.

Directeur médical de la Fondation John Bost depuis 2023, il avait rejoint la fondation en tant que médecin il y a cinq ans. Elle regroupe 40 établissements et services sanitaires médico-sociaux en Île-de-France, qui accueillent et accompagnent 2 000 personnes avec des troubles du neurodéveloppement, en situation de handicap psychique ou avec polyhandicap.

Etienne Pot a également été médecin à la direction générale de la Fondation « Les amis de l’atelier », qui accueille notamment des personnes autistes et ou ayant un trouble du développement intellectuel entre 2016 et 2018. Il a également travaillé comme conseiller scientifique pour le Haut conseil pour l’avenir de l’assurance maladie (HCAAM) à France Stratégie, entre 2016 et 2023, sur les sujets relatifs à la prévention, la promotion de la santé et les ressources humaines en santé.

Il était, jusqu’à sa nomination, expert à la Haute Autorité de santé au sein de la commission du social et médico-social depuis 2018.

Etienne Pot a également créé une entreprise spécialisée en santé publique en 2019, Epcare, assurant notamment des missions d’audit pour des institutions du secteur sanitaire et médico-social, sur les sujets de qualité et de recommandations de bonnes pratiques professionnelles.

« Je suis très heureuse de voir Etienne Pot prendre la tête de la délégation. Son expertise sur les troubles du neurodéveloppement et notamment l’autisme nous permettra de garantir l’action transversale de la délégation interministérielle. Son approche, à la fois médicale et sociale, se fonde sur la recherche scientifique et le travail de proximité avec les acteurs, les associations et les personnes concernées. C’est la bonne méthode pour aboutir à des résultats efficaces qui répondent aux réalités du terrain. » 

Fadila Khattabi, ministre déléguée chargée des Personnes handicapées

« La première stratégie nationale a permis de poser des bases solides pour améliorer durablement la qualité de vie des personnes autistes, Dys, TDAH, TDI et de leurs familles. Le travail doit se poursuivre. Ma ligne de conduite et mon engagement seront tendus vers un objectif majeur : garantir aux personnes des accompagnements de qualité et le respect de leur choix. Pour y parvenir, je souhaite en particulier déployer des solutions adaptées aux besoins spécifiques des personnes autistes, Dys, TDAH, TDI ; améliorer l’accès au diagnostic et à des interventions de qualité, conformes aux recommandations de bonne pratique ; renforcer l’accompagnement des adolescents et des adultes. » 

 

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Handicap : Fadila Khattabi et Cyrille Melchior annonce un plan de rattrape de l’offre médico-sociale pour l’accueil des personnes handicapées à La Réunion

Une convention en faveur des personnes vivant avec un handicap a été signée, vendredi 10 novembre, à Sainte-Marie, par Fadila Khattabi, ministre chargée des Personnes handicapées, Cyrille Melchior, président du Conseil départemental de La Réunion et Gérard Cotellon, directeur général de l’Agence régionale de santé (ARS)

Cette convention traduit la programmation de moyens exceptionnels de l’État, au travers de l’ARS et du Département de La Réunion, dans le respect de leurs compétences respectives, afin d’accélérer le développement et la transformation de l’offre médico-sociale à destination des personnes en situation de handicap. Il s’agit de la mise en œuvre des décisions prises par la Première ministre à l’occasion du Comité interministériel des Outre-mer (CIOM) du 18 juillet 2023, et notamment de sa mesure n°24, qui prévoit la mobilisation de 150 millions d’euros pour améliorer la qualité de l’accompagnement des personnes handicapées au quotidien.

L’enveloppe allouée par l’État à La Réunion s’élève à 37 millions d’euros, dont 20 millions à destination des adultes et 17 millions à destination des enfants. À celle-ci, s’ajoute une enveloppe supplémentaire de 10 millions d’euros annoncée par la ministre à la suite du CNR handicap, pour l’investissement porté par le Gouvernement. Le Département s’engage lui aussi fortement en participant financièrement à ce plan de rattrapage (2024-2030) à hauteur de 29 millions d’euros.

Le Conseil départemental poursuit et renforce sa stratégie d'évolution de l'offre d'accueil déjà engagée depuis 2022 en direction des publics vulnérables (personnes âgées, personnes handicapées et enfants accueillis par l’aide sociale à l’enfance), avec la création :

de 190 places en direction des personnes en situation de handicap ; 

de plus de 1000 places en direction des personnes âgées ;

et de 400 places pour les enfants, pour un coût de 50 millions au terme de la réalisation de ce plan ambitieux.

En complémentarité de cette offre, la Collectivité s'engage – dans ce nouveau plan de rattrapage de l'offre en direction des personnes en situation de handicap – sur la période 2024-2030, à créer 680 nouvelles places pour ce public, soit 300 places en compétence conjointe avec l'ARS (foyer d’accueil médicalisé, service d'accompagnement médico-social pour adultes handicapés) et 380 places en compétence exclusive (foyer d’accueil occupationnel et service d'accompagnement à la vie sociale). Cet engagement s’élève à 29 millions d’euros.

Au total sur les deux plans, ce sont ainsi 870 nouvelles places qui seront créées pour les personnes en situation de handicap.

Au terme de cette convention, l’ARS s’engage notamment à financer, sur la période 2024-2028, la création de 400 à 630 places de service d’éducation spéciale et de soins à domicile (SESSAD) ainsi qu’au sein des instituts médico-éducatifs (IME), dont la majeure partie devra être installée dans les établissements scolaires. À ce titre, la création d’une 4e équipe mobile d’appui à la scolarisation et la création de neuf nouvelles unités d’enseignement externalisées vient renforcer l’accompagnement scolaire des élèves en situation de handicap de La Réunion.

Une commission régionale du handicap se réunira annuellement, associant l’ensemble des institutions compétentes dans le champ du handicap, afin de garantir la convergence de l’action publique et le suivi des mesures mobilisées.


« C’était un engagement du Gouvernement et il a été tenu. Nous débloquons des moyens inédits pour développer et renforcer l’offre médico-sociale de La Réunion. Je salue la mobilisation exemplaire du Département et de son président, Cyrille Melchior, qui fait de cet enjeu, ainsi que celui de la scolarisation des enfants en situation de handicap, une priorité. À ce titre et au regard de la qualité et de l’efficacité du dialogue qui s’est noué entre l’Etat et les acteurs du handicap réunionnais, j’ai engagé un soutien supplémentaire de 10 millions d’euros pour l’investissement.  »


Fadila Khattabi, ministre chargée des Personnes handicapées

 

« La Réunion reste insuffisamment dotée en capacité de prise en charge au niveau des établissements et services médico-sociaux aussi bien pour les jeunes que les adultes. Cette réalité se traduit par des parcours de vie douloureux pour nos concitoyens les plus lourdement handicapés et leurs familles. Ce contexte exige de nous un esprit exemplaire d’unité, de solidarité mais aussi d’inventivité. Nous franchissons une nouvelle étape avec ce protocole, un engagement historique pour notre île.  Il permet d’engager un travail partenarial sur plusieurs volets : le renforcement de l’accès au diagnostic et à la prise en charge précoce des déficiences ; l’inclusion scolaire ; l’accompagnement à l’autonomie des adultes ; l’accès à la santé ; et la transformation de l’offre de services spécialisée afin de répondre aux aspirations et aux besoins des personnes vivant avec un handicap. Ce protocole porte ainsi, à nos yeux, l’espérance de co-construire une nouvelle destinée réunionnaise de la bienveillance et de l’inclusion, une société où chacun peut y trouver sa juste place. Je salue l'engagement de la Ministre auprès de notre collectivité, au bénéfice des Réunionnais ».

Commission nationale Culture et Handicap

Rima Abdul-Malak, ministre de la Culture, et Fadila Khattabi, ministre chargée des Personnes handicapées, ont présidé la Commission nationale Culture et Handicap le 6 novembre 2023.

Pour Rima Abdul-Malak, ministre de la Culture : « La culture donne du goût et du sens à la vie : tout l'enjeu de l'accessibilité universelle, c'est que personne n'en soit exclu. C'est pourquoi nous sommes mobilisées, avec Fadila Khattabi, pour améliorer l'accès des personnes en situation de handicap à la culture, pour améliorer leur visibilité dans la société mais aussi pour une plus grande participation des artistes handicapés à notre vie culturelle. »

En organisant cette Commission nationale Culture et Handicap à Roubaix, au sein de l’Oiseau-Mouche, un lieu culturel unique qui est depuis 1989 à la fois un théâtre et le siège d’une compagnie composée de vingt comédiens permanents en situation de handicap mental et psychique, les ministres ont souhaité saluer toutes celles et ceux qui s’engagent sur le terrain dans une action culturelle pleinement ouverte, accessible et humaine.

À la suite d’un temps d’échange entre les membres de la Commission et les comédiens de la troupe, la réunion plénière a été l’occasion de rappeler les engagements pris lors de la Conférence nationale du handicap d’avril dernier en faveur d’une culture plus inclusive :

Former les équipes et accompagner les étudiants pour un enseignement supérieur culturel pleinement accessible et ouvert à tous ;

Faciliter l’accès aux œuvres et aux lieux culturels pour les personnes handicapées ;

Développer l’emploi des personnes en situation de handicap dans les métiers de la culture.

Après avoir salué ces objectifs partagés, le président du Conseil national consultatif des personnes handicapées (CNCPH) et les huit associations membres de la Commission ont rappelé combien l’accessibilité universelle des établissements culturels et des œuvres était pour leurs adhérents la première des priorités.

Cet échange a été l’occasion pour la ministre de la Culture et la ministre chargée des Personnes handicapées de présenter aux associations le bilan des efforts en matière d’accès à la culture pour les publics handicapés. À ce titre, le Fonds pour l’accessibilité des œuvres mis en place en 2018 a déjà permis de soutenir près de 400 projets sur l’ensemble du territoire métropolitain.

En 2023, de nombreux projets ont été soutenus, parmi lesquels :

En Nouvelle-Aquitaine :

Le Fonds régional d’art contemporain 33 a souhaité faire évoluer ses pratiques pour rendre ses programmes de médiation accessibles au plus grand nombre, afin de favoriser l’autonomie de tous les publics et la découverte des œuvres.

Grâce au Fonds Accessibilité, le Fonds régional d’art contemporain 33 pourra donc s’équiper de 20 récepteurs audiophones tourguides, 10 boucles à induction magnétique, sous forme de tours de cou, 1 microphone cravate pour audiophone tourguide, d’un système de casques pour l’amplification et de boucles d’induction pour le public déficient auditif appareillé. 

En Pays de la Loire :

Afin d’être plus accessible aux personnes en situation de handicap, le Grand R – Scène nationale La Roche-sur-Yon (Vendée) souhaite mettre en œuvre plusieurs outils d’accessibilité : une signalétique destinée aux personnes en situation de handicap, une vidéo de présentation des saisons Grand R accessible aux personnes malentendantes ainsi que la traduction en langue des signes française et l’audiodescription de quatre spectacles et médiations grand R. Grâce au Fonds accessibilité, la Scène national – Grand R de La Roche-sur-Yon en Vendée pourra disposer de ces outils mais également former son personnel à la langue des signes françaises.

En Île-de-France :

Un projet au Théâtre Gérard Philipe, centre dramatique national de Saint-Denis, permettra grâce au soutien du Fonds accessibilité l’écriture de 3 audiodescriptions, la traduction LSF pour deux spectacles Jeune public, une journée de formation des personnels d'accueil, et la production vidéos de promotion en LSF et de programmes en brailles et en FALC. 

En Centre-Val de Loire :

Un projet à l’EHPAD Tiers-Lieux Culturel de Bracieux permettra grâce au soutien du Fonds accessibilité l’achat de boucles magnétiques fixes afin de permettre à tous les publics et à toutes les générations de bénéficier de l'offre culturelle du lieu.

Les ministres ont également invité les associations représentatives à jouer un rôle de relais afin de mieux faire connaître ce fonds, doté chaque année d’un million d’euros pour près de 100 projets, d’encourager les lieux culturels peu accessibles à y candidater et d’alerter les directions régionales des affaires culturelles (DRAC) sur les améliorations demandées en matière d'accessibilité dans les lieux culturels.

À l’issue de la Commission, les membres ont convenu de quatre nouvelles pistes de travail, suivies en sous-commission, pour les années 2023-2024 :

L’amélioration de l’information sur l’accessibilité des œuvres et contenus culturels ;

Le lancement d'une expérimentation pour que le Centre National pour la Création Adaptée de Morlaix puisse être un pôle de ressources pour l’accompagnement des artistes en situation de handicap en France ;

Le lancement d'un chantier pour une plus grande accessibilité de l’information diffusée par les médias (presse écrite, audiovisuel, etc) en prenant en compte l’ensemble des handicaps concernés et en lien avec les débats des Etats généraux de l’information ;

Le déploiement d'une mission confiée à un binôme expert, dont Dominique Gillot, ancienne Secrétaire d'État, sur l’emploi des personnes handicapées dans les métiers de la culture.

Pour Fadila Khattabi, ministre chargée des Personnes handicapées : « Je suis ravie d’avoir relancé cet espace de dialogue essentiel entre nos ministères, les personnes concernées et les associations. Cette Commission ouvre des perspectives riches pour l’accessibilité culturelle et l’emploi des personnes handicapées dans le secteur de la culture. Je remercie Rima Abdul-Malak pour son engagement très fort à ce sujet, nous travaillons main dans la main pour que la culture soit accessible à toutes et tous. »

OUVERTURE DU FONDS ACCESSIBILITÉ POUR ACCOMPAGNER LES COMMERCES ET LES ÉTABLISSEMENTS DE PROXIMITÉ

OUVERTURE DU FONDS ACCESSIBILITÉ POUR ACCOMPAGNER LES COMMERCES ET LES ÉTABLISSEMENTS DE PROXIMITÉ

 

Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des Petites et moyennes entreprises, du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme, et Fadila Khattabi, ministre déléguée chargée des Personnes handicapées ont annoncé, ce mardi 31 octobre, le lancement du Fonds territorial d’accessibilité pour les établissements recevant du public (ERP) de 5e catégorie (commerces, hôtels, cafés, restaurants mais aussi cabinets médicaux).

Avec une enveloppe de 300 millions d’euros sur 5 ans, le Gouvernement apporte une aide concrète aux professionnels du quotidien afin qu’ils puissent financer la mise en accessibilité de leurs établissements. Les entreprises concernées peuvent dès le 2 novembre déposer leur demande sur le guichet en ligne de l’Agence des services de paiement à l’adresse suivante : http://asp-public.fr.

Aujourd’hui encore, de nombreux commerces, cabinets médicaux et établissements du quotidien peinent à se mettre en conformité avec les critères d’accessibilité. Près de la moitié d’entre eux ne sont pas adaptés à l’accueil de personnes handicapées et cette proportion augmente pour atteindre 7 établissements sur 10 lorsqu’il s’agit des ERP de 5e catégorie. Ce manquement à la loi de 2005 constitue une atteinte aux droits des personnes en situation de handicap qui ne peuvent accéder à leurs soins, par exemple.

Afin d’accélérer la mise en accessibilité de notre société, la Conférence nationale du handicap, présidée par Emmanuel Macron le 26 avril dernier, a acté la création du Fonds territorial d’accessibilité qui touche tous les pans de notre société et dont l’un des objectifs est d’accompagner financièrement les ERP de 5e catégorie dans la réalisation de leurs travaux en la matière.

Doté de 300 millions d’euros pour une période de 5 ans (du 2 novembre 2023 au 31 décembre 2028), ce Fonds a pour ambition d’accompagner les commerces de proximité, cafés, restaurants, hôtels ou encore les cabinets médicaux dans leur mise en accessibilité. Il permettra de financer à hauteur de 50 %, dans la limite de 20 000 €, les dépenses d’équipements (rampes amovibles, vitrophanie, éclairage, etc.) et de travaux (travaux pour agrandir la largeur des couloirs, pour supprimer une marche à l’entrée, pour adapter les sanitaires, etc.). Les dépenses d’ingénierie et d’assistance à maîtrise d’ouvrage peuvent également être prises en charge.

Le demandeur pourra déposer plusieurs demandes au titre d’une aide pour travaux et équipements et d’une aide pour de l’ingénierie. Toutefois, le montant total de l’aide maximale attribuée par ERP est de 20 500 €.

Par ailleurs, le porteur de projet pourra demander le versement d’une avance de 30 % du montant total de la subvention au moment du commencement d’exécution du projet, afin de limiter au maximum les frais à avancer.

À ce titre, les ministres souhaitent que les Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 permettent d’aller encore plus vite dans la mise en accessibilité de notre société. De fait et parce qu’il n’y a plus une minute à perdre, une attention particulière sera portée aux commerces, hôtels et restaurants des villes d’accueil des épreuves jusque fin 2024.

Le guichet ouvre le 2 novembre 2023 sur le site de l’Agence de services et de paiement (ASP), opérateur du dispositif : http://asp-public.fr.

Pour qu’un ERP puisse bénéficier d’une aide de l’État au titre du fonds territorial d’accessibilité, il devra remplir les critères d’éligibilité suivants (cumulatifs) :

- Être inaccessible ou partiellement accessible et avoir un projet de mise en accessibilité totale ou partielle ;

- Être une TPE/PME ;

- Avoir été créé avant le 20 septembre 2023 et ne pas se trouver en procédure de liquidation judiciaire à la date du dépôt de la demande ;

- Être inscrit au registre national des entreprises et être à jour des obligations à l'égard de l'administration fiscale et de l'organisme de recouvrement des cotisations patronales de sécurité sociale.

Pour Olivia Grégoire : « Cela fait des années que l’on nous parle de changement de regard sur les personnes en situation de handicap. Désormais, c’est le quotidien qu’il est impératif de changer alors qu’encore de trop nombreux commerces ne sont pas accessibles pour tous, que ce soit des personnes en situation de handicap, des personnes âgées ou de jeunes parents. Les Jeux Olympiques et Paralympiques doivent être un accélérateur pour améliorer l’accessibilité de nos établissements de proximité, d’autant plus que les villes qui accueillent des épreuves, et celles alentour, verront leur fréquentation largement augmenter. C’est pourquoi, ces prochains mois, une attention toute particulière sera accordée aux commerces de ces villes. »

Pour Fadila Khattabi : « Améliorer la vie quotidienne des personnes handicapées ou en perte d’autonomie est au cœur de notre mission. Ce fonds permettra aux commerces, mais aussi aux cabinets médicaux ou paramédicaux de s’équiper pour accueillir tous nos concitoyens, sans discrimination. Permettre à chacun de se déplacer sans entrave, en totale autonomie, ce n’est pas qu’une question de droit, c’est aussi un enjeu de dignité. Au-delà des Jeux Olympiques et Paralympiques, tous les départements seront donc concernés. Avec Olivia Grégoire et l’ensemble des membres du Gouvernement, nous accélérons ! »

Lancement de la Cohorte Marianne

Lancement de la Cohorte Marianne. 

1 700 femmes enceintes et leurs familles sont invitées à participer à cette recherche majeure dédiée aux troubles du spectre de l’autisme (TSA) et plus largement aux autres troubles du neuro-développement (TND). En finançant le projet Marianne sur dix ans, la France se dote pour la première fois d’un outil permettant de répondre à la question de l’influence de l’exposome (les atteintes environnementales à la santé humaine) sur les facteurs d’incidence de l’autisme et autres troubles du neuro-développement, ainsi que sur les trajectoires de développement à long terme de ces troubles.

 

Madame Geneviève Darrieussecq, ministre déléguée chargée des Personnes handicapées et Claire Compagnon, déléguée interministérielle à la stratégie nationale autisme-TND, officialisent le lancement de la Cohorte Marianne, ce mercredi 29 mars 2023.

Selon les évaluations scientifiques les plus récentes, le taux de prévalence des TND est estimé à un enfant sur six (soit environ 120 000 naissances par an en France) et celui des TSA entre 1% et 2% des naissances. Ces chiffres ont augmenté au cours des dernières décennies et les progrès en matière de dépistage n’expliquent qu’en partie cette augmentation. Si la génétique représente un facteur établi des causes de l’autisme, les données scientifiques suggèrent que les TND sont des troubles ayant des origines multiples, ce qui soulève un certain nombre de questions concernant l’influence des facteurs biologiques et environnementaux dans leur apparition (contaminants chimiques, médicaments, pesticides, etc.).

 

La Cohorte a ainsi pour ambition de :

- Comprendre les facteurs environnementaux et biologiques contribuant à l’apparition de difficultés de développement chez l’enfant ;

- Définir des mesures de prévention en santé environnementale ;  

 - Et enfin, d’améliorer l’accompagnement des enfants ayant des troubles du développement et du spectre de l'autisme.

La Cohorte suivra pendant six ans deux types de familles. D’une part, 1 200 femmes enceintes ayant déjà un ou plusieurs enfants autistes et/ou un trouble du neuro-développement et d’autre part, 500 femmes ayant eu un ou plusieurs enfants sans difficulté de développement.

Ces 1 700 familles feront l’objet d’un suivi singulier, anonyme et confidentiel. Il sera pris en charge par l’État à 100% pendant six ans, autour de plusieurs actions :

- Des rendez-vous réguliers avec des professionnels du médico-social (en téléconsultation ou par téléphone) ;

- Des questionnaires à remplir (en ligne ou par papier) ;

- Un suivi du développement du bébé ou de l’enfant par un psychologue ;

- Des prélèvements biologiques (sur la base du volontariat).

 

es parents et les futurs bébés devront résider dans les départements suivants : Eure, Gard, Haute-Garonne, Hérault, Loire, Nord, Rhône, Seine-Maritime, Tarn et Tarn-et-Garonne.
 

Pour Geneviève Darrieussecq, ministre déléguée chargée des Personnes handicapées : « Le lancement de Marianne constitue la première cohorte prénatale à l’échelle européenne susceptible d’apporter des réponses concrètes concernant le rôle de l’environnement dans l’apparition des troubles du neuro-développement et du spectre de l’autisme. En finançant ce projet de recherche, à hauteur de 6 millions d’euros, le Gouvernement dote la France d’un outil d’expertise essentiel dans la détection et le repérage précoces de ces troubles. Ses résultats ouvriront, je l’espère, de nouvelles voies dans la prévention et l’accompagnement des naissances à venir. J’adresse toutes mes félicitations aux scientifiques et à l’ensemble des acteurs engagés dans ce projet. »

Pour participer à la Cohorte :

Consulter le site internet : www.cohorte-marianne.org et remplir le questionnaire.

Téléphoner au 04.67.33.85.39 pour échanger avec une sage-femme formée qui répondra à toutes les questions et validera l’inscription dans la Cohorte.

La Cohorte Marianne fait partie intégrante de la stratégie nationale autisme-TND. Elle est financée à hauteur de 6 millions d’euros par le Gouvernement via l’Agence nationale de la recherche (ANR) au titre du plan France 2030. De multiples partenaires sont associés au projet afin d’assurer le recrutement et le suivi des familles comme l’Inserm, les maternités, la CNAM, la CNAF, les professionnels de la petite enfance et les associations de familles. Le projet est coordonné par le Pr. Amaria Baghdadli, responsable du Centre d’excellence sur l’autisme et les troubles du neuro-développement - CeAND (CHU et Université de Montpellier) et chercheuse au Centre de recherche en Épidémiologie et Santé des Populations (CESP) de l’Inserm, et par le Dr. Marie-Christine Picot, responsable de l’Unité de recherche Clinique et Épidémiologie au sein du même CHU, chercheuse associée (CESP) de l’Inserm, dont les travaux respectifs sont reconnus à l’international dans les domaines de l’autisme et des cohortes épidémiologiques en santé.

L’étude multirégionale est coordonnée par 7 équipes de CHU ainsi que 30 maternités et bénéficie du soutien de quatre centres hospitaliers : le CHU de Lille, le Centre hospitalier Le Vinatier de Lyon, le CHU de Rouen et le CHU de Toulouse.

 
Pour plus d’informations sur la stratégie nationale autisme au sein des troubles du neuro-développement : https://handicap.gouv.fr/autisme-et-troubles-du-neuro-developpement

 

Lancement de la 7ème édition de la Semaine Olympique et Paralympique avec Pap Ndiaye

DÉPLACEMENT DE PAP NDIAYE, MINISTRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE ET DE LA JEUNESSE, AMÉLIE OUDÉA-CASTÉRA, MINISTRE DES SPORTS ET DES JEUX OLYMPIQUES ET PARALYMPIQUES ET GENEVIÈVE DARRIEUSSECQ, MINISTRE DÉLÉGUÉE CHARGÉE DES PERSONNES HANDICAPÉES

AU ZÉNITH DE LA VILLETTE (75019)

POUR LANCER LA 7ÈME ÉDITION DE LA SEMAINE OLYMPIQUE ET PARALYMPIQUE (SOP)

 

LE LUNDI 3 AVRIL 2023

Pap Ndiaye, ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques et Geneviève Darrieussecq, ministre déléguée chargée des Personnes handicapées, se rendront ce lundi 3 avril au Zénith de la Villette pour lancer la 7ème édition de la Semaine Olympique et Paralympique, qui se déroule cette année sous le thème de l’inclusion des personnes en situation de handicap. Accueillant 1 300 jeunes des académies de Créteil, Paris et Versailles, l’évènement permettra notamment de promouvoir les actions de valorisation du sport, de l’olympisme et de la pratique inclusive organisées dans les établissements scolaires partout sur le territoire. 

 

Déroulé prévisionnel : 

 

10h20 : Accueil républicain

Zénith de Paris – La Villette – 211 Av. Jean Jaurès, 75019 Paris

10h25 : Cérémonie de lancement et prise de parole des ministres

10h40 : Micro tendu

10h55

Échange avec les associations sportives et déambulation sur les stands de sensibilisation pour l’inclusion des personnes en situation de handicap dans le sport (rugby adapté, cécifoot, hand fauteuil, équitation adaptée, volley inclusif, para badminton), présentation de l’exposition « Histoire, sport et citoyenneté » de la CASDEN et de la fresque murale « Sport, Art et Mixité »

12h00 : Départ des ministres

Déplacement de Jean-Christophe COMBE, et de Geneviève DARRIEUSSECQ, ministre déléguée chargée des Personnes handicapées,

 

Déplacement de Jean-Christophe COMBE, ministre des Solidarités, de l'Autonomie et des Personnes handicapées  et de Geneviève DARRIEUSSECQ, ministre déléguée chargée des Personnes handicapées,

 

le lundi 27 février 2023 dans la Marne (51)

 

Le Ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées, M. Jean-Christophe COMBE et la Ministre déléguée chargée des Personnes handicapées, Mme Geneviève DARRIEUSSECQ se rendront le lundi 27 février dans la Marne.

Les Ministres se rendront tout d’abord à Epernay pour visiter le Foyer de vie Jacques-Paul Bru, qui accueille et accompagne des résidents en situation de handicap.

Par la suite, M. Jean-Christophe COMBE et Mme Geneviève DARRIEUSSECQ iront visiter le gymnase adapté de Châlons-en-Champagne. Ce gymnase innovant permet à tous de pratiquer du sport ensemble afin de faire évoluer les regards et de combattre les préjugés. Un déjeuner sera organisé avec les élus et les dirigeants des associations départementales engagées sur le handicap et l’inclusivité.

Enfin, les Ministres se rendront au foyer de vie et d’accueil médicalisé de Pierre-Devernay et concluront leur déplacement par la visite de l’Institut médico-éducatif Elan Argonnais afin d’aller à la rencontre des résidents et d’échanger avec les professionnels sur les projets de cette structure.

 

 

Déroulé prévisionnel : 

09h15 : Café d’accueil avec Mme Christine MAZY, Maire d’Epernay

Hôtel de Ville d’Epernay, 7 bis Avenue de Champagne – 51230 Epernay

Hors presse

 

09h30 : Visite du foyer de vie Jacques-Paul Bru

10 Rue des Forges – 51230 Epernay

Presse accréditée

 

11h10 : Visite du gymnase adapté « Le Tremplin »

43 avenue Jeanne d’Arc – 51000 Châlons-en-Champagne

Presse accréditée

 

12h00 : Visite du foyer d'accueil médicalisé Pierre-Devernay

30 Rue du Général Jansen – 51000 Châlons-en-Champagne

Presse accréditée

 

12h40 : Micro tendu à la presse

Presse accréditée

 

13h00 : Déjeuner avec les élus et les dirigeants des associations départementales engagées sur le handicap et l’inclusivité

Préfecture de Châlons-en-Champagne - 51000

Hors presse

 

15h15 :Visite de l’institut médico-éducatif Elan Argonnais 

Quai Valmy - 51800 Sainte-Menehould 

Presse accréditée

 

16h15 :Micro tendu à la presse

Presse accréditée

« Habitat inclusif : le comité interministériel fait état d’un déploiement d’ampleur en 2022 »

Jean-Christophe Combe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées, Geneviève Darrieussecq, ministre déléguée chargée des Personnes handicapées, Olivier Klein, ministre délégué à la Ville et au Logement, et Dominique Faure, ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité ont réuni ce jour le comité interministériel de l’habitat inclusif.

 

En 2022, la quasi-totalité des Départements se sont engagés dans le développement de l’habitat inclusif et ont formalisé une programmation pluriannuelle de financement de cette nouvelle offre dans le cadre des Conférences des financeurs.

Au total, ce sont 1 885 projets d’habitats inclusifs qui seront déployés sur les territoires dans les prochaines années, pour répondre aux besoins de 18 070 personnes en situation de handicap ou âgées.

Ce dynamisme montre que ces projets font sens dans les territoires et répondent à une attente forte des Françaises et des Français.

C’est aussi le résultat d’une forte impulsion politique. L’aide à la vie partagée (AVP), créée par la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2021 et payée par les Départements, permet de financer l’animation et la coordination de la vie sociale au sein des habitats inclusifs. Pour les programmes actés, le financement de l’aide à la vie partagée est assuré par la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) à hauteur de 80% des dépenses. La trajectoire financière de la CNSA pour ce dispositif représente ainsi plus de 70 millions d’euros de financement annuel pour ces projets à l’horizon 2025.

La poursuite du développement de l’habitat inclusif est une ambition forte. Les collectivités territoriales et leurs élus sont d’ores et déjà amenés à se saisir de cette forme d’habitat, par le rôle de coordination du conseil départemental et par la planification par les intercommunalités depuis la loi 3DS. En plus de la contribution financière à l’aide à la vie partagée, l’Etat poursuivra son accompagnement en matière normative pour simplifier et accélérer les projets.

Dès 2021, la démarche « Bien vieillir dans les Petites villes de demain » a été lancée par l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT) avec l’objectif de soutenir les stratégies de revitalisation des centres-villes et des centres-bourgs de façon adaptée aux besoins et aux aspirations actuels et futurs des personnes en situation de handicap et ou âgées.

Il importe aussi de faire de l’habitat inclusif une réponse sociale, au plus proche des besoins, dans la logique du Conseil national de la refondation pour le logement. L’année 2021 avait déjà permis de flécher des logements sociaux rénovés ou existants vers l’habitat inclusif. L’année 2023 sera l’occasion de créer des habitats inclusifs très sociaux (PLAI), au bénéfice des personnes âgées ou handicapées les plus modestes. Les préfets seront également sensibilisés au développement de cette forme d’habitat.

Jean-Christophe Combe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées:

« L’habitat inclusif, c’est plus qu’une alternative à l’établissement médico-social et au domicile «ordinaire», c’est une autre manière de vivre ensemble, mais aussi d’habiter un bourg, un quartier, un territoire. Pour les personnes âgées, l’habitat inclusif offre un environnement bienveillant tout en permettant de vivre pleinement au sein d’un collectif et de continuer à s’investir pour la collectivité. Ces sujets résonnent profondément avec nos travaux menés dans le cadre du Conseil national de la refondation « Bien vieillir » qui portent une autre vision du vieillissement. L’habitat inclusif est donc un levier à renforcer ».

Geneviève Darrieussecq, ministre déléguée chargée des Personnes handicapées :

« Proposer d’autres parcours aux personnes en situation de handicap est un objectif primordial, sur lequel nous travaillons de façon volontariste dans le cadre de la Conférence nationale du handicap. Mon objectif, c’est de lutter contre les chemins de vie tout tracés qui s’imposeraient aux personnes handicapées. Il y a donc un enjeu à mettre à disposition des personnes concernées différentes possibilités, en particulier dans le choix de leur lieu de vie et des personnes avec lesquelles elles souhaitent vivre. L’habitat inclusif offre de telles solutions, et c’est la raison pour laquelle nous entendons le développer. »

Olivier Klein, ministre délégué à la Ville et au logement :

« L’habitat inclusif est un symbole de la capacité du logement à s’adapter aux problématiques des personnes. Il offre une solution, parmi d’autres, qui associe un bâti de qualité, un accompagnement adapté aux besoins de vie commune et de socialisation, et des modalités de financement particulières. 1 885 projets ont déjà été lancés, au bénéfice de plus de 18 000 personnes, et nous allons permettre de poursuivre cette dynamique en ouvrant la possibilité aux porteurs de projet d’élargir leurs financements, en ouvrant le financement très social des logements à l’habitat inclusif, et de poursuivre les démarches en faveur de la simplification et de l’accélération de ces projets ».

Dominique Faure, ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales et à la Ruralité :

« L’habitat inclusif est un projet de vie pour la personne et un projet de vie pour la collectivité. Je tiens à saluer le rôle essentiel des conseils départementaux dans le financement, le développement et l’accompagnement de ces structures. Dans les territoires ruraux, et en particulier dans les petites villes, près d’un habitant sur quatre a plus de 65 ans, contre un sur cinq dans le reste de la population. C’est pourquoi nous avons chargé l’Agence nationale de la cohésion des territoires de mener des expérimentations sur ce sujet dans le cadre du programme Petites villes de demain (PVD). 63 projets d’habitat inclusif en faveur du bien vieillir dans les petites villes ont été accompagnés au cours de l’année passée, en lien avec la CNSA et POPSU. »

 

Déplacement de Geneviève Darrieussecq A PARIS

 

Geneviève DARRIEUSSECQ

ministre déléguée auprès du ministre des Solidarités,

de l'Autonomie et des Personnes handicapées,

chargée des Personnes handicapées

se rendra à Paris ce jeudi 1er décembre,

pour rencontrer les équipes du Géant Casino Massena et échanger sur la politique de l’emploi pour les personnes en situation de handicap

Geneviève Darrieussecq se rendra au Géant Casino Massena à Paris pour une présentation de la politique de l’entreprise en faveur des personnes en situation de handicap. La ministre participera ensuite à un échange avec la direction et des salariés en situation de handicap.

Depuis 1995, le groupe Casino s’est engagé pour l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap. En 2020, il a signé son 8e accord Handipacte (2020-2022). Aujourd’hui, le groupe compte près de 9,57 % de ses collaborateurs en situation de handicap en France, au-dessus de l’obligation légale des entreprises.

 

Déroulé prévisionnel : 

 

08h55 Accueil républicain

Place Vénétie

75013 Paris

 

09h05  Présentation de la politique handicap du groupe Casino

 

09h20 Échange avec la direction du magasin et ses salariés en situation de handicap

 

09h50 Intervention de Patrick Martin, président délégué du Medef

 

10h00 Intervention de Geneviève Darrieussecq

 

10h10 Remise du chèque à l’association Handi-chiens

10h20 Micro tendu

Déplacement de Geneviève Darrieussecq à Aubervilliers

 

Geneviève DARRIEUSSECQ

ministre déléguée auprès du ministre des Solidarités,

de l'Autonomie et des Personnes handicapées,

chargée des Personnes handicapées

se rendra à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, ce vendredi 2 décembre,

pour la visite du chantier de la Maison de l’autisme

Geneviève Darrieussecq visitera le chantier de la Maison de l'autisme à Aubervilliers ce vendredi 2 décembre, à 12h30. La ministre, accompagnée de Claire Compagnon, déléguée interministérielle à l'autisme au sein des troubles du neuro-développement, présentera ce projet.

La Maison de l’autisme est un projet physique, un espace de 1500 m2 à Aubervilliers doublé par un site internet spécifique. Appelée de ses vœux par le Président de la République, la Maison de l'autisme verra le jour en avril 2023.

Au carrefour de plusieurs politiques publiques, la Maison de l’autisme sera un lieu ressource pour les personnes autistes, leur famille et les proches aidants. Elle s’adressera également aux associations, aux porteurs de projets innovants ainsi qu’aux professionnels qui souhaitent se sensibiliser ou se former au TSA. Enfin, elle aura pour vocation de sensibiliser le grand public.

 

 

Déroulé prévisionnel : 

 

 

12h25  Accueil républicain

10 rue Waldeck Rochet

93300 Aubervilliers

Transport en commun : station Front populaire (ligne 12)

 

12h35 Découpe du ruban par la ministre

 

12h40  Visite de l’espace et découverte des plans d’aménagement

 

13h10  Discours officiels

 

13h20 Micro tendu

Déplacement de Geneviève Darrieussecq

 

Geneviève DARRIEUSSECQ

 

ministre déléguée auprès du ministre des Solidarités,

de l'Autonomie et des Personnes handicapées,

chargée des Personnes handicapées

 

se rendra ce vendredi 25 novembre dans les Hautes-Pyrénées,

pour l’inauguration d'habitats inclusifs à Azereix et la visite d’un lycée professionnel agricole à Vic-en-Bigorre

 

La ministre déléguée chargée des Personnes handicapées inaugurera les « Maisons de Mélise », un projet d’habitat adapté et partagé, associé à un lieu de vie culturel et convivial. Cette structure a reçu le prix de l’Union nationale des associations parents d’enfants inadaptés (UNAPEI).

Geneviève Darrieussecq déjeunera au restaurant « La demi-lune ». Cette structure est gérée par l’établissement et service d’aide par le travail (Esat) du plateau de Lannemezan.

La ministre visitera ensuite le lycée professionnel agricole et forestier Jean Monnet, où elle échangera avec un exploitant agricole et son apprenti en emploi accompagné.

 

 

Déroulé prévisionnel : 

 

Séquence 1 : Visite des « Maisons de Mélise »

 

10h20 Accueil républicain Rue du Pic du Midi  65380 Azereix

 

10h25  Visite et présentation des nouveaux logements

 

11h00  Discours d’inauguration de Geneviève Darrieussecq

 

11h10  Échange avec un locataire et visite de son logement

 

11h20  Visite de l’espace « Mélise et Toit », tiers-lieu ouvert au public

 

11h45  Micro tendu

 

 

Séquence 2 : Déjeuner dans un restaurant « La demi-lune » (hors presse)

                       

 

Séquence 3 : Visite du lycée professionnel agricole et forestier Jean Monnet

 

14h30  Accueil républicain

11 bis Promenade des Acacias

65550 Vic-en-Bigorre

 

14h35 Visite d’une salle contenant des espaces modulables

 

15h10  Rencontre avec un exploitant agricole et son apprenti en emploi accompagné

 

15h35  Micro tendu

 

 

Déplacement de Mme Darrieussecq et Mme Caubel à Marseille et à La Seyne-sur-Mer

 

 

Déplacement de Geneviève DARRIEUSSECQ, ministre déléguée chargée des Personnes handicapées et de Charlotte CAUBEL, secrétaire d’État auprès de la Première ministre, chargée de l'Enfance.

Elles visiteront la « Maison des plus petits » à Marseille et inaugureront l’institut médico-éducatif Léo Lagrange à la Seyne-sur-Mer, dans le Var.

Le lundi 28 novembre 2022

 

Les ministres Geneviève Darrieussecq et Charlotte Caubel se rendront à la « Maison des plus petits » à Marseille. Inaugurée à la rentrée 2022, cette structure, unique en France, permet de prendre en charge, des enfants âgés de 0 à 6 ans. Ces derniers sont confiés à l’aide sociale à l’enfance (ASE) et présentent des pathologies chroniques et complexes, et sont parfois en situation de handicap.

Les ministres inaugureront ensuite l’institut médico-éducatif (IME) Léo Lagrange à la Seyne-sur-Mer (83). Il s’agit d’une structure innovante, créée en milieu ordinaire, dans l’enceinte d’un établissement scolaire. Depuis la rentrée de septembre 2022, elle accueille une cinquantaine d’enfants handicapés, âgés de 4 à 12 ans.

 

Déroulé prévisionnel : 

 

Séquence 1 : Visite de la « Maison des plus petits » 

 

10h10  Accueil républicain - Toute presse accréditée

1 bis, Boulevard Jacquet 13013 Marseille

 

10h15  Visite de l’établissement et échanges avec les professionnels -Toute presse accréditée

 

11h10  Échange des ministres avec la présidente du Conseil départemental

Séquence 2 : Visite de l’IME Léo Lagrange

 

12h45  Accueil républicain - Toute presse accréditée

392 Avenue Fernand Léger 83500 La Seyne-sur-Mer

 

13h05  Déjeuner républicain au sein de l’école Léo Lagrange

 

14h00  Rencontre avec les professionnels de l’IME - Toute presse accréditée

 

14h30  Inauguration de l’IME - Représentation culturelle par le pôle jeune public - Toute presse accréditée

 

15h20  Discours du maire, du président de l’association et des ministres puis coupe du ruban - Toute presse accréditée

15h45  Visite des locaux - Toute presse accréditée

 

16h00 Point presse

Point presse

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